« Zakopianka » (2021) de Paulina Katarzyna Zielska. Huile sur toile, 90 × 90 cm. Paysage urbain au crépuscule : route vide vers le soleil couchant, néon en forme de flamme, gammes rose–orange–bleu face aux silhouettes sombres.
« Là-bas, à travers les collines de sable » (2024) de Paulina Katarzyna Zielska. Huile sur toile, 40 × 30 cm. Paysage intimiste en roses et violets, avec lointaine ligne montagneuse et textures douces.
« Acte – Le Fruit de la Féminité » (2024) de Malina Wieczorek. Technique mixte sur toile (acrylique, huile, pastel, crayon), 100 × 170 cm. Un nu contemporain comme manifeste de l’énergie féminine.
« Nu, Femme et Soleil » (2024) de Malina Wieczorek. Technique mixte sur toile (acrylique, huile, pastel, crayon), 120 × 130 cm. Le corps comme signe, émotion et spiritualité.
« Lady Atom » (2022) de Roland Kościółek est une sculpture en céramique émaillée issue de la série limitée Lady. Chaque pièce est tirée à moins de 30 exemplaires, avec un motif coloré unique représentant une femme en longue robe dans un univers futuriste et biotechnologique.
« Lady Atom » (2022) de Roland Kościółek est une sculpture en céramique émaillée issue de la série limitée Lady. Chaque pièce est réalisée à moins de 30 exemplaires, avec un motif coloré unique représentant une femme en longue robe dans un univers futuriste et biotechnologique.
« Lady Sky » (2022) de Roland Kościółek est une sculpture en céramique émaillée issue de la série limitée Lady. Chaque pièce est tirée à moins de 30 exemplaires, avec un motif coloré unique représentant une femme d’origine extraterrestre, belle, élégante et sûre d’elle.
« Old Lady » (2024) de Roland Kościółek est une sculpture en céramique émaillée dont la forme s’inspire de l’art de l’Égypte antique. Son motif coloré, totalement unique, et son interprétation libre en font une pièce de collection contemporaine singulière.
« Poison Lady » (2024) de Roland Kościółek est une sculpture en céramique émaillée issue de la série limitée Lady. Elle représente une femme en apparence délicate et élégante, qui dissimule pourtant un sombre secret.
« Last Parrot » (2024) de Roland Kościółek est une sculpture en céramique émaillée représentant un ara avec un motif de crâne accentué. Œuvre issue d’une série animalière, elle associe portrait d’animal et réflexion symbolique sur la mortalité.
« Dialogi 109 vs 109 » (2023) d’Andrzej Ciołek – huile sur toile, 85 × 95 cm. Invitation symbolique au dialogue malgré les différences humaines.
« Blue Monday » d’Agata Strzemecka – acrylique sur toile (76×102 cm, 2022). Réflexion sur la culture de masse, la psychologie et les contradictions du quotidien.
Vendu
« Aurora » (2022) de Matylda Burszta. Technique mixte — collage et huile sur toile, 90 × 120 cm. Portrait romantique et cinématographique, aussi fuyant que l’aurore boréale ; matière stratifiée et lueurs colorées.
« Shade of polo » d’Agata Strzemecka – acrylique sur toile (90×60 cm, 2024). Représentation minimaliste d’un cavalier, jouant sur la lumière et l’ombre.
« Grey Composition » (2024) de Roman Goss est une peinture à l’huile sur toile dominée par un fond bleu-gris atténué. Des accents de jaune, de blanc, de noir, de brun et de vert clair apparaissent sous forme de blocs de couleur texturés, créant une composition stratifiée et presque architecturale.
« Composition 17 » (2024) de Roman Goss est une peinture à l’huile sur toile construite à partir de blocs de couleur horizontaux et verticaux. Une palette chaude et terreuse – bruns, beiges, jaunes, blancs et verts clairs – et une texture riche créent une forte impression de profondeur et de structure.
« Jardin Lunaire » (2020) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte & aquatinte, 40 × 53 cm (portrait). Roses oniriques surgissant de l’ombre ; symbolique riche et clair-obscur profond.
« Le Cœur de Wrocław » (2016) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte & aquatinte, 49 × 60 cm (portrait). Un cœur anatomique monochrome peuplé d’architectures wroclaviennes ; clair-obscur profond et minutie des détails.
Vendu
« Fatum » (1999) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte monochrome, 50 × 50 cm (carré). Figure féminine nue dans un paysage surréaliste peuplé d’êtres fantastiques; anneau solaire évoquant destin et cyclicité.
« Sept de Mes Côtes » (2011) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte monochrome, 50 × 50 cm (carré). Figure masculine enthronisée entourée de créatures mythiques (oiseaux, poissons) et de végétaux ; composition en étoile, clair-obscur profond.
« Lune Bleuets des Champs Gelés » (2011) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte & aquatinte, 94 × 67 cm (paysage). Scène onirique : cochon ailé, animaux en lévitation et taureau monumental ; clair-obscur maîtrisé.
« Fleurs de la Nuit » (2002) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte & aquatinte sur plaque de cuivre, tirage sur papier coton Zurkal, 94 × 67 cm (paysage). Trois fleurs lumineuses sous un croissant de lune ; clair-obscur soigné et symbolique onirique.
« À l’aube a fleuri l’océan noir » (2002) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte & aquatinte sur plaque de cuivre, tirage sur papier coton Zurkal, 94 × 67 cm (paysage). Tableau onirique de l’aube : fleurs lumineuses, navire enlacé de végétation, dragon et silhouette de pont/forteresse ; clair-obscur raffiné.
« Statique des Profondeurs » (2004) de Przemysław Tyszkiewicz. Eau-forte & aquatinte sur plaque de cuivre, tirage sur papier coton Zurkal, 94 × 67 cm (paysage). Canapé dans l’ombre, colibri en vol stationnaire, colonnes torsadées : clair-obscur raffiné et symbolique onirique.